En fin de semaine dernière, nous avons inauguré l’école de production de Compiègne : cette année, ce sont 28 jeunes qui se forment et tracent leur carrière professionnelle dans les techniques de chaudronnerie et d’usinage .
Le principe est LE FAIRE POUR APPRENDRE. Otech est née avec de solides racines. Il répond aujourd’hui à un défi majeur pour notre pays : répondre aux besoins des entreprises qui offrent des postes non pourvus. Aussi la question de l’adéquation entre demandeurs d’emplois, jeunes sans qualification et offres d’emplois sans réponse est cruciale dans notre société.Ces emplois seront pourvus dans notre bassin de vie, cette école fait sens au sein de notre tissu industriel qui fait la fierté de la vallée de l’Oise et du Noyonnais.L’Etat est partenaire, mais aussi Compiègne et son agglomération et son président Philippe Marini et les partenaires privés sans lesquels ce projet n’aurait pas vu le jour.La Région Hauts-de-France est au rendez-vous avec une forte implication du président Xavier Bertrand sur ce dossier.
Après une implantation réussie d’une école de production à Lille, Lens, Roubaix, Quiévrechain, O’TECH est la première école de production de #Picardie, ici à Compiegne avec un soutien financier du Conseil Régional Hauts-De-France et une mobilisation de crédits européens.Je tiens à saluer le travail passionné de l’équipe qui a construit ce projet, il y a près de 18 mois. Il leur a fallu de la ténacité aux porteurs pour réunir tous les partenaires publics et des partenaires privés de premier plan. Safran, Fondation Poclain, UIMM Picardie, CMC. La France peut aujourd’hui proposer un emploi à tous ceux qui souhaitent travailler.Félicitations à ces jeunes qui relèvent un défi majeur de s’engager dans la voie de la formation, du volontariat, du travail.
C’est le parti d’O’tech, il mérite d’être soutenu.L’implantation de l’école est aussi un engagement urbain, au cœur du quartier du Clos des Roses de Compiègne où tout est fait par la ville pour offrir un avenir favorable à tous les compiégnois. Là aussi, la puissance publique est présente. Elle ne doit abandonner aucune parcelle de territoire, aucun citoyen, aucun jeune.J’ai souhaité encourager ces jeunes qui vont apprendre un métier, tracer une voie pour leur vie future, demain fonder une famille.Ces jeunes sont notre avenir .